Dr.Lawrence Hackermann"I'm an agent"
Messages : 90 Date d'inscription : 19/11/2012 Age : 30 Localisation : Château de la fête foraine
About Me... Bonus: : | Sujet: Dossier Médical du Docteur Hackermann [complet] Mar 20 Nov - 19:54 | |
| ∆. Âge : 25 ans, né un 10 mars ∆. Origines : Allemande ∆. Rang : Agent ∆. Poste : Chef du Corps médical-scientifique
| ∆. Taille / Poid : 1m99/ 82kg ∆. Orientation Sexuelle : Homosexuel ou Bi (il semblerait qu'il ait une relation avec son frère) ∆. Problème(s) de santé : Aucun ∆. Problème(s) physique(s) : Corps recouverts de coutures, mâchoire fragile (doit être quelques fois retenue par des fils) ∆. Problème(s) psychologiques : Pedophobie aigüe (très prononcée), crises d’hystéries ∆. Groupe Sanguin : O- [Bilan fait par son médecin , Dr. Blasius Hackermann]
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Bon passons à mon mental, je sais même pas si je suis capable de me décrire correctement ! Il faudrait une personne extérieure donc … Lulu je t’en pris ! -Pourquoi c’est moi qui doit m’occuper de ta partie mental ? - Car je ferais la tienne un autre jour ! bon allez moi je m’en vais et fait en sorte de ne pas me rendre trop ridicule. (s’en va) -… bon bah j’y vais alors … Alors que dire sur Law ? Hem … c’est quelqu’un qui aime dormir avec son pyjama à l’envers , et faire chier le monde en mettant la cafetière en marche la nuit. Ah si il aime bien lire des romans pour minettes tel que les romans d’amour et de trahison, oui c’est un grand mordu de littérature mais il déteste les livres policiers, de science fiction (mis à part les classique), fantastique et autres ! Il est de nature très expressif, quand il a peur il tremble, quand il est triste il pleurs , quand il est heureux il rigole, quand il est gêné il est rouge pivoine. J’adore le taquiner, il est tout rouge après ! Enfin d’après son histoire on peut penser qu’il est quelqu’un de cruel et de méchant, certes il l’est mais à coté il est vraiment sympathique , c’est une question de chance selon votre âge et votre situation ! Si vous ne rentrez pas dans ses normes vous aurez à faire au méchant Law qui vous torturera avec plaisir, mais si vous entrez dans ses normes alors il sera votre meilleur ami, reste à voir si vous pouvez supporter son coté sombre après ! Il est aussi assez déranger il faut le dire, il est toujours en train de faire des trucs ridicules pour passer le temps, une fois il s’est même ramené au boulot avec une corde à sauter au cas où il s’ennuierait. Il aime faire des blagues à ses collègues et se comporte avec eux comme un grand frère, des fois ça m’énerve il faut dire ! Enfin, du moment qu’il passe encore du temps avec moi ça va, et faut dire que quand on rentre chez nous c'est-à-dire à la fête foraine qu’on a élu comme domicile, on a du boulot ! Pourquoi vivre là-bas ? Peut être un rêve d’enfant, on aime bricoler et on a même réussit à installer notre maison dans le grand château rose bonbon au milieu ! Je ne vais pas me vanter mais Law tient beaucoup à moi et c’est réciproque à tel point que nous… hem je ne vais pas parler de ça pour sa mentalité quand même … Enfin bref passons ! Law aime un peu tout, sauf les enfants mais ça ne l’empêche pas de se comporter comme un enfant lui-même ! Bon je vais plutôt vous parler de ses crises d’hystéries quand il est en face d’un enfant : Il tremble, puis il pleur pour ensuite changer du tout au tout et devenir calme et souriant ! De ce fait il s’approche de gamin en le saisissant par les poignets et en lui tailladant la gorge ! Puis il regarde le corps gisant au sol et termine le boulot en séparant la tête du corps qu’il récupère comme trophée ! Bien sûr il s’en va en riant comme un enfoiré puis il redevient lui-même au bout d’une dizaine de minutes. Bon j’avoue qu’il est effrayant quand il est comme ça mais je suis mal placé pour le juger car je fais entre autre pareil ! Le seul truc que je supporte pas C EST QUE MOI AU MOINS JE DECORE PAS MA CHAMBRE AVEC DE VRAIS CRANES DE MES VICTIMES ! Enfin en quelques mots Law est une personne attachante quand il vous considère digne de sa confiance... si ce n'est pas le cas alors courrez ! [/spoiler]
| Je vais vous faire une description neutre de mon physique car je n’aime pas m’attarder dessus. De loin on peut dire que je suis très grand car je dépasse largement d’une tête les autres agents mais a niveau du muscle ce n’est pas encore ça quoiqu’il parait que mes « câlins plaquant » sont redoutables. Au niveau de mon corps, je vous l’ai suffisamment expliqué dans mon Histoire, j’ai de nombreuses coutures sur le corps avec des onces de gris et blanc différents, il doit me rester environ 30% de ma peau d’origine et mon corps se compose d’environ une cinquantaine de morceaux. Au niveau de mon visage j’ai encore quelques coutures surtout tout autour de mon œil gauche et autour de mon cou, le reste étant caché par mes cheveux comme le haut de mon front, ma nuque et mes oreilles. J’ai des cheveux roux avec des racines noires en bataille car impossible de les dompter, ils sont relativement fin et ondulés sur les cotés. J’ai de grands yeux grand ouvert, je ne sais pas d’où me vient ce tic mais je me force toujours à ouvrir les yeux en grand me donnant un peu l’air d’un drogué en manque s’extasie. Mes pupilles sont rouges à cause d’un manque de pigment qui les rends fragiles donc j’ai toujours une paire de lunettes de soleil dans la poche. Le seul souci vraiment ennuyeux que j’ai est ma mâchoire, elle est très fragile et il arrive souvent qu’elle se déboite quand je baille, j’ai des coutures à l’intérieur de ma bouche qui me permettent de la garder en place mais j’avoue que c’est chiant et parfois douloureux, mais je crois que ce qui me fait le plus mal c’est la couture que j’ai au fond de la langue (car oui à cause du choc des rochers je me suis mordu la langue jusqu’à la couper en partie et à cause de ça j’ai réapprendre à parler). Bon voici grosso-modo mon physique haha , je ressemble juste à un patchwork vivant croisé à un renard albinos. Sinon au niveau des habits c’est simple, je porte souvent une longue blouse blanche que j’ai piqé à mon père et qui est assez usée car faut dire qu’elle est passée plein de fois dans la machine à lavée à cause des giclées de sang … sinon en dessous je mets souvent des pulls à col roulé, sinon le pantalon c’est souvent un jean foncé voir noir et je met des chaussures en cuir noir. A ma ceinture j’ai ma serviette avec mes couteaux ainsi qu’in vieille montre qui appartient à Blasius (que j’ai piqué en souvenir car j’ai eu la chance et la joie de m’apercevoir que quand on va dans cette île il est difficile de retourner chez soi en vacances). Sinon il m’arrive parfois d’organiser des soirées à la fête foraine et de me déguiser en clown (oui car j’aime organiser des trucs qui servent à rien ) et bizarrement j’aime bien 8’D. Donc voilà pour résumer mon physique… mais je vous préviens… LE PREMIER QUI S ECLATE A TIRER SUR MES FILS EST MORT ! (vous faites ça je pars en lambeaux limite )
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Mon histoire ? Haha mais vous vous demandez ce qu’il m’est arrivé pour avoir autant de cicatrices ? Je ne sais pas si ce sera très agréable à entendre mais comme vous semblez être des personnes très curieuse je ferai en sorte de répondre à vos attentes ! Donc voici le récit de ma vie digne d’un livre de Mary Shelley !
- Chapitre I:
Que dire sur ma naissance ? Elle devait être rapide, je ne pense pas être resté à la maternité plus de deux jours et je suis persuadé que je n’ai jamais pénétré le domaine de ceux qui m’ont conçu ! Le premier lieu de ma vie hormis l’hôpital était l’orphelinat de la paroisse voisine ! Selon Madame Grungwird, directrice de l’orphelinat, ma naissance était désirée, ce n’était pas une erreur découverte trop tard pour être supprimée… mais pourquoi m’avoir abandonné si j’avais été tant désiré ? Selon ma bienfaitrice (enfin qui se désigne comme ma bienfaitrice mais qui me donne moins de considérations que son borgne de chien) mes « parents » voulaient à tout prix un héritier digne de reprendre le domaine mais le problème c’est que physiquement je ne l’étais pas a cause de la couleur de ma chevelure, rousse. En effet ces personnes étaient tellement fixé sur l’apparence (qui se doit être irréprochable) qu’ils n’ont pas supporté l’idée d’avoir un laideron (car malheureusement beaucoup de gens nous assimile à des personnes laides) comme descendant. Qu’il est cruel de penser que l’on peut donner la vie et espérer d’avoir un service après vente après … ma mère et mon père étaient persuadés qu’ils pouvaient m’abandonner et en concevoir un autre mais malheureusement pour eux ils n’ont plus jamais réussit à reproduire ce petit miracle de la vie, il semblerait que Madame Grandford (car c’était leurs nom) était incapable d’ovuler à nouveau. Enfin bref… je n’ai jamais pu voir leur visage, par contre j’ai pu plus tard recevoir une grande part d’héritage. En effet le majordome des Grandford a toujours eu pitié de mon sort et lorsque ses maîtres ont eu leurs accident tragique, il a remué ciel et terre pour que je puisse toucher cet argent et ce domaine comme si je n’avais jamais été abandonné (ironie du sort pour mes pauvres parents). Enfin je m’égare dans mon histoire… il est déjà malheureux qu’il existe encore des parents avec une mentalité pareille, mais je crois que pendant mon enfance j’ai tiré à plusieurs reprises le mauvais numéro pour ce qu’il s’agit de mon entourage. Il n’y a qu’à regarder le comportement des personnes de l’orphelinat, ils avaient une mauvaise opinion de ma personne à cause de mon gabarit (j’étais très grand et plutôt fin pour mon âge), de mes cheveux roux… et de mes yeux couleurs rubis ! Cette couleur a susciter le dégout et non de l’intérêt de la part de mes camarades, peut-être étaient-ils moines anti-satanistes dans une autre vie … J’ai vécu un véritable enfer lors de mes huit premières années, j’ai été maltraité aussi bien mentalement que physiquement , on me privait souvent de nourriture sous prétexte que j’étais impoli (ce qui était absolument faux car les personnes de l’orphelinat me détestaient à tel point qu’à chaque fois que je leurs jetaient un regard , il prenaient ça pour un affront) , j’étais souvent puni et envoyé dans une salle froide pendant plusieurs heures voir plusieurs jours quand on m’oubliait. Une fois j’ai entendu, après une vague mortelle d’une toute nouvelle grippe, ma « bienfaitrice » pleurer devant les cadavres des enfants malades en disant « Pourquoi est ce que ce sont ces enfants qui sont partis alors que ce monstrueux rouquin est encore en vie et en pleine santé ». Je me souviens que ce jour là j’ai beaucoup pleuré, je savais que madame Grungwird ne m’aimait pas, voir qu’elle me détestait… mais de là à souhaiter ma mort … non jamais j’aurai cru que la cruauté des hommes pouvait espérer ça (mais j’était bien sot à l’époque)… et je me rendis peut après compte que les adultes n’étaient pas les seuls à être cruel et que l’enfant peut être bien pire. Cette journée… ce 13 octobre 19** sera la date la plus influente et la plus horrible de toute mon existence ! Elle marque la fin d’un chapitre malheureux et le début d’un heureux mais en soi cette scène sera celle qui aura le plus blessé mon physique et mon moral. Tout commence par une matinée banale, j’ai mangé ma bouillie d’avoine froide le matin, j’ai lavé le sol du vestibule, j’ai encore été privé de déjeuner, enfin un matin que j’ai vécu et revécu durant huit ans ! Mais ce jour là quelque chose de bizarre est arrive, moi qui suis toujours à l’écart lors des jeux de l’après-midi on m’a gentiment invité pour faire une randonné un peu plus loin dans le domaine. A cet instant j’étais heureux, ce n’était pas grand-chose certes, mais j’étais heureux ! J’ai suivit en silence le groupe d’enfant-adolescent qui m’a invité pour cette promenade, on était treize à faire cette petite expédition et au milieu du chemin ils se sont arrêtés… ils ont regardé le fond d’un petit fossé et m’ont gentiment demandé d’aller chercher un ballon qu’ils avaient égaré quelques jours plus tôt mais que je pourrai récupérer très facilement vu ma grande taille. Sans me poser de question j’y alla, je descendit les parois argileuse afin de me glisser près de la balle et lorsque j’allais la prendre je sentis une vif douleur derrière mon crâne, je sentais des quelque chose de chaud en sortir et couler sur ma nuque… c’était du sang … En me retournant je vis que mes camarades avaient tous de grands sourires et les mains remplis de cailloux ramassés sur le bord du fossé ! Un à un il mes les jetèrent en pleine figure, je criais de douleur mais ils ne s’arrêtèrent pas, même quand j’étais recroquevillé les mains sur la tête en pleurant ils continuèrent … jusqu’au moment où l’un d’entre eux eut la superbe idée de retirer un petit rocher qui constituait la paroi, ce petit geste provoqua un énorme éboulement, les rochers du dessus s’écrasèrent contre ceux du dessous et ainsi de suite, je me souviens de la scène , de cette image où je vois tout tomber comme des ballons mais après tout était noir, je ne voyait rien mais je sentais une énorme et affreuse douleur sur tout le corps ! J’étais coincé sous cette pile de rocher. Je criais, j’appelais à l’aide du peu de forces qui me restait… j’entendais les autres enfants s’éloigner paniqués mais aucun d’entre eux n’est revenu avec du renfort ! … J’étais là pendant plusieurs heures à agoniser, je m’accrochais à chaque bruit comme un espoir , les feuilles qui se déplaçaient à cause du vent étaient pour moi des pas d’une personne venant à mon secours … mais il faut dire qu’au bout de plusieurs heures j’ai perdu tout espoir, j arrêtais de me maintenir réveiller puis j’ai fermé mes paupières en essayant d’oublier ce mal qui parcourait tout mon corps . Je voulais en finir vite mais faute de pouvoir bouger je ne pouvais pas abréger mes souffrances , au fil des minutes je suis tombé dans une sorte de coma le temps que la faucheuse est eu le temps de venir me rendre visite.
- Chapitre 2:
C’était la fin de cette première partie ! Votre petit cerveau doit se demander comment le petit roux a pu s’en sortir tout seul ! Vous avez raison de vous poser cette question car c’est quasiment impossible qu’une personne seule puisse se dégager de cette situation désagréable ! Mais pas quand quelqu’un nous vient en aide haha, et non ce n’était pas des personnes de l’orphelinat venu en renfort ! Ma survie je la dois à un homme qui passait par là. Je me rend compte aujourd’hui à quel point j’ai eu de la chance car cet individu, Blasius Hackermann, est un drôle de personnage. C’est un homme détestant sortir de son manoir au fin fond de la foret se trouvant à coté du domaine de l’orphelinat, petit on m’a toujours dit que c’était une maison habité par un fou et même il arrivait aux adultes de nous menacer de nous envoyer le voir ! C’était un peu comme notre ogre à nous, la menace idéale pour rendre un enfant sage. En realité Blasius Hackermann est un scientifique dit « déchu », en effet ses recherches demandaient une certaine mentalité hélas très peu répandu à notre époque, il trouvait intéressant d’utiliser des humains comme cobayes, non pas des vivants (même si parfois il aurait bien voulut), mais des cadavres. A plusieurs reprises il effectua des expériences sur des patients qu’il gardait comme « vivant » dans sa clinique alors qu’ils avaient rendu l’âme depuis longtemps mais quand le pot aux roses fut découvert on lui retira tout ses droits de pratique et il a du passer plusieurs années en prison. Après sa peine il se retira dans le manoir familial abandonné depuis plusieurs générations à cause de sa géographie éloignée par rapport à la civilisation, il s’y installa de par son dégout pour l’humanité, au moment où on l’avait pris en pleine expérience sur le cadavre de Monsieur Aletha il était presque arrivé à trouver l’anticorps pour cette grippe qui a fait des ravages quelques années plus tôt. Mais maintenant estimant que les hommes n’avaient plus le mérite d’avoir un nouveau Salut grâce à ses efforts , il décida de ne jamais montrer la finalité de ses recherches. Il est devenu, du jour au lendemain très agressif et misanthrope, ne supportant pas la compagnie de ces personnes orgueilleuses, il ne sortait quasiment jamais ! Mais ce jour là, à cause d’une expérience foireuse qui a parfumé le manoir d’une odeur immonde, il décida de prendre l’air quelques heures le temps que l’air de son manoir redevienne vivable. C’est grâce à cette petite goutte acide phtalique en trop dans la mixture que je dois cette heureuse rencontre avec mon père adoptif (les produits chimiques sont nos amis, faut les aimer aussi C8). Certes il était misanthrope, mais il n’était pas sans cœur pour autant bien qu’au départ il s’était réjouit de trouver un corps à disséquer en bas de chez lui. C’est en prenant mon poignet (seule partie du corps hors des rochers) qu’il a pu s’apercevoir que j’avais encore du pouls ! A ce moment il dégagea malgré sa faible corpulence, les rochers qui recouvraient mon corps. Selon lui j’étais très salement amoché, la partie gauche de mon visage déchiqueté, la gorge ouverte assez profond, la mâchoire défoncée presque entièrement détachée et le reste du corps broyé avec la peau déchirée (c’était l’instant gourmand de law 8D). C’était un miracle que je sois restée en vie ! Il me pris délicatement et me ramena à toute vitesse chez lui. Cette partie de mon histoire je ne l’ai pas vraiment vécu en tant qu’acteur à cause de mon coma, tout m’a été raconté par Blasius lui-même. Les cinq jours qui suivirent étaient intenses et très fatigantes pour le scientifique , il a du recourir à sa réserve personnelle et bien caché d’échantillons (entre autres … sa morgue personnelle de la cave C8) et tel une mamie essayant de tuer le temps en faisant du patchwork, il se mit à me recoudre en utilisant ses échantillons. Le plus dure était ma gorge, j’en ai gardé une trace qui peut faire penser que je suis un parent proche du cavalier de la légende du Val Dormant, il a passé presque deux jours de par les complications qui sont survenues durant l’opération, mon cœur se serait arrêté quelques instants trois fois au moins. Du manque d’effectif dans sa réserve, il ne pouvait pas me donner un peau aussi blanche que la mienne, de par ce fait je me suis retrouvé avec angoisse au premier abord puis avec dégout que je ressemblait à Frankenstein. Ah ce beau matin où je me suis réveillé de mon coma, j’étais si bien dans ce grand lit , moi qui est toujours connu le matelas humide et petit dans un coin froid d’une chambre de l’aile est de l’orphelinat. J’étais persuadé que j’étais dans un autre monde, le paradis peut-être car tout ce que je voyais était si beau et si chaleureux (j’ai toujours adoré le mobilier et l’architecture de Kunstylger), par contre je sentais toujours une certaine douleur , moins prononcé certes , mais elle était toujours là ! On est pas censé ne plus souffrir une fois mort ? En me demandant cela j’ai tourné ma tête vers une armoire à coté de moi et à ce moment là j’ai hurlé de toutes mes forces ! J’avais vu un truc ignoble et effrayant ! Je m’étais caché sous les draps, j’entendais des pas arriver vers la chambre et une porte s’ouvrir en grand et se claquant contre le mur ! Je tremblais comme une feuille et quelques instants après la couette s’est délicatement baissé… j’étais face à face avec un grand homme aux longs cheveux châtains et au regard sévère quoique inquiet sur le moment ! Il me demanda si j’allais bien et pourquoi j’avais crié ! Je lui avais parlé du monstre que j’avais aperçu à coté du lit et c’est avec un regard plein de pitié et de tristesse ( ?) qu’il me demanda de rejeter un coup d’œil à droite de mon lit… Le monstre était encore là sauf que au lieu de fermer les yeux ou de me cacher j’ai décidé de ne pas fuir son regard… mais c’est à ce moment là que je me rendis compte qu’il n’y avait personne à coté du lit… juste mon reflet sur le long miroir accroché au placard.
- Chapitre 3:
J’avoue qu’au départ j’étais assez voir très malheureux, enfin pas très longtemps car cette tristesse s’est transformée en colère et le petit garçon de huit ans que j’étais était plein de rancune envers ses douze bourreaux. Voyant ma peine et ma colère et après que je lui ai raconté mon histoire, Blasius prit la décision de ne pas me ramener à l’orphelinat , de par le fait que je n’ay avait pas ma place, et ni au commissariat , du fait qu’il risque d’avoir des problèmes sur ses pratiques même si au final il m’a sauvé d’une mort certaine. Il me déclara donc haut et fort qu’il allait me garder avec lui (quelques années plus tard il me reconnaitra officiellement comme son fils) et prit soin de moi du mieux qu’il peut ! Je sais qu’il n’était préparé en aucun cas à s’occuper d’un gosse mais il n’a pas eu trop de soucis avec moi-même si ma rééducation était très dure ! Selon lui j’ai fait un second miracle ,après celui d’être rester aussi longtemps sous les rochers, j’ai fais ma rééducation en un temps record : environ deux ans ! Dans mon esprit de petit garçon j’étais tel un fils qui voulait que son père soit fière de lui et malgré cette froideur que Blasius m’accordait au départ j’étais plus que motivé qu’il soit heureux de mes efforts ! J’étais un enfant naïf mais au final j’ai gagné son estime ! Mon père Blasius est un homme très cultivé, aimant autant les revues scientifiques que la littérature, même si il détestait les personnes extérieurs , il ne pouvait ne pas s’attacher aux personnages de romans et petit à petit il a réussit à me transmettre cette passion de la littérature ! Je passais beaucoup de mes journées à lire des romans , et un jour j’ai voulut attaquer les livres sur la médecine qui trainait un peu partout , mais ne comprenant rien du tout et aussi de nature très curieuse je lui ai demandé de m’expliquer ! Ca a débuté avec l’étude des mammifères et des reptiles, puis on est passé à la dissection pour l’approfondissement, puis je suis passé aux expériences physiques et chimiques, j’ai ensuite étudié la morphologie et l’anatomie humaine grâce aux échantillons de mon père. Petit à petit pendant deux ans encore j’ai assimilé beaucoup de choses dans ces domaines, voyant en moi un élève sérieux et motivé Blasius décida de me prendre pour assistant et prit le soin de m’apprendre tout ce qu’il savait sur la médecine. Selon un de ses proches parents, Blasius ne s’est jamais montré aussi aimable, enjoué et calme depuis que je suis venu vivre chez lui , personnellement je ne m’en rend pas compte mais si ce qu’il dit est vrai alors je ne veux pas connaitre celui d’avant déjà que celui-ci est assez effrayant ! Enfin ces deux années ce sont passées à merveille et j’’étais heureux à l’idée d’être son assistant ! Par contre un jour il décida de m’amener avec lui pour un court voyage, environ une semaine , il voulait retourner à l’orphelinat pour chercher la documentation nécessaire à sa demande d’adoption … j’étais angoissé à l’idée d’y retourner … et quand mes longues jambes ont pénétrés dans l’enceinte de la cour et que j’ai vu, au loin, le petit groupe qui m’avait réduit à l’état de monstre je me suis mis à trembler… mais au bout de quelques minutes une haine resurgie… je me précipita vers eux , ils devaient tous avoir entre 13 et 19 ans, je crois même que les deux derniers de 18 et 19 ans sont devenus des gardiens, enfin bref je me suis précipité vers eux en criant ! Ils ont pris peur de part mon apparence , ils ont à leurs tour crié et en voyant mon visage ils … ils … se sont mis à rire… aucune peine, aucun remord apparaissait sur leurs visage. Fou de rage je me lance contre celui qui m’avait jeté la première pierre, j’avais provoqué une grande bataille malheureusement un contre douze ce n’est pas suffisant ! Blasius arriva en courant demandant en gueulant que cette bataille se cesse … il me prit dans ses bras voyant dans quel état j’étais et m’emmenas hors de l’orphelinat , au lieu de retourner à Kunstylger il décida de prendre quelques vacances en Autriche (histoire de me faire plaisir et de me faire oublier ces retrouvailles) mais il remarqua lors de notre séjour que je faisais des crises de panique ou encore des crises d’hystéries lorsque je rencontrai des personnes de mon âge ou plus jeune … Après une étude minutieuse qu’il fit en silence il en a déduit que cet accident n’avait pas provoqué en moi que des blessures physiques mais aussi mentales (bien que identifié quatre ans plus tard du fait que je n’avais aucun contact humain hormis Blasius et ses proches parents qui étaient tous des adultes ) j’étais atteint d’une phobie très prononcée pour les enfants (de moins de quinze ans car il a découvert qu’inconsciemment je ne pouvais pas supporter cette tranche d’âge du fait que mes douze camarades avaient moins de quinze ans). Plusieurs mois plus tard alors que je venais de fêter mon treizième anniversaire, Blasius estima que j’étais assez grand pour me laisser seul un petit week-end le temps qu’il aille chercher des produits dans une pharmacie en suisse. Au petit matin il partit dans une calèche qu’il avait appelé la veille. Rha de cette partie joyeuse de mon enfance, cette journée était la plus jouissante mais aussi la plus effrayante que j’ai pu connaitre. Voulant me préparer quelque chose à manger, je pris les restes de poulet de la veille mais n’aimant la viande qu’en petit morceaux (à cause de ma gorge fragile) je pris un des grands couteaux de cuisine et commença à en faire des petits dés. Soudain j’entendis du bruit… des bruits de pas … ce n’était pas mon père car on pouvait nettement distinguer les pas de plusieurs personnes… Je mis les morceaux de poulet à la poubelle et me suis caché derrière un rideau en tremblant toujours mon couteau à la main … La porte de la cuisine s’ouvrit et les visiteurs se mirent à parler dans la pièce en disant « y’a vraiment personne » ; « encore heureux sinon on serait pas là » ; « ça valait le coup d’attendre, on pourra fouttre le feu sans qu’on soit soupçonné » ; « c’était une bonne idée de dire à Madame Grungwird qu’on est partit au festival du village ! Comme ça elle saura que c’est pas nous qui avions mis le feu ». … Bon dieu … ce moment où je réalisais que les visiteurs étaient mes camarades… j’étais horrifié par ce que je venais d’entendre et ne même temps fou de colère ! Je n’ai jamais su ce que j’avais fait pour attiser leurs haine envers moi ! Mais aujourd’hui je me refuse de les laisser détruire mon bonheur et le manoir tant chérit de MON PERE BLASIUS ! C’est avec cette résolution de protéger ce manoir que m’est apparut cette idée noire… Le plus vieux du groupe, Peter donna comme ordre de se disperser à chacune des pièces du rez de chaussé et que à Midi pile tous mettrait le feu aux rideaux de leurs pièce et après sortiront vite d’une des fenêtres. Tous étaient d’accord pour ce plan et se séparèrent. Peter était resté dans la cuisine, il y avait encore vingt minutes à tuer avant la mise en route du plan … Il s’est assis à une chaise regardant sa vieille montre à gousset. Et c’est avec une grande détermination que je suis sortie de ma cachette , il me regarda avec étonnement et alors qu’il s’apprêtait à appeler ses amis je lui enfonçait mon couteau en pleine poitrine. La lame était tellement bien aiguisé et longue qu’il mourut sur le coup… à cet instant j’étais terrorisé au premier abord mais cela ne dura qu’un court instant car après j’étais pleinement heureux. Le laissant gisant au sol je me rendis doucement vers la petite salle à manger où s’était installée Mary sur un coin de table dos à moi, doucement avec mes longue jambes je m’avançait vers elle et croyant que c’était Peter elle rigola… pour la dernière fois ! Je lui donnait aussi un coup de couteau fatal et au fut et à mesure que je m’avançais dans les pièces j’en tuait un. Tous étant persuadé que la maison était vide , en ont oublié d’être méfiant et sur leurs gardes. Penny dans la grande salle à manger, William dans le salon de compagnie, Jane dans l’antichambre, Antoine dans le vestibule, Oliver dans la Bibliothèque, Lydia dans le petit salon , Tom dans le boudoir, Anne dans la chambre, Axel dans le laboratoire et enfin la jeune Charlotte dans le Bureau. Tous y sont passés même si j’ai eu beaucoup de mal avec Axel qui était très fort malgré sa taille ce qui avait avertit Charlotte dans la pièce à coté ! J’ai du la poursuivre jusqu’au bureau … je crois que papa va pas être content de voir que j’ai taché ses documents. Après ce massacre… je me suis assis dans le grand fauteuil de cuir de Blasius et je dirai que pendant une bonne heure j’étais en train de rêvasser en souriant ! Je m’étais débarrassé moi-même des mes pires cauchemars, jamais plus mon bonheur ne sera menacé par eux ! Mais c’est au milieu de l’après midi que je me suis mis à empiler les corps , du fait que j’ai assisté à de nombreuses dissections je n’étais pas écœuré de ce spectacle ! Je les ais placés dans le jardin à l’endroit que Blaisius fait bruler les feuilles mortes et c’est avec le briquet de Peter que je mis le feu aux cadavres… au moins ils auront participés à leurs immolations ! Bien sûr j’étais devenu angoissé après, j’avais peur que Blasius m’en veuille , me prenne pour un fou ou encore qu’il soit dégouté de moi en disant qu’au final je suis bel et bien un monstre … mais rien de cela ne se produisit ! Il était certes étonné et un peu fâché mais au final il éclata de rire comme quoi je n’avais pas à avoir peur des voleurs et que c’est eux qui devraient avoir peur de moi ! Blasius est un homme tellement dénué de bon sens qu’il était juste heureux de voir sa maison saine et sauve (et son fils au passage) et il m’a ajouté avec un petit rire « Que le portagé donnera plus de légumes cette année ave l’engrais que je venais de produire. » Mais à partir de ce moment je me suis rendu compte que même si j’avais exterminé mes démons , la peut était toujours là et mes crises aussi … le massacre n’est pas terminé
- Chapitre 4:
Après la disparition des douze enfants de l’orphelinat qui fait l’objet d’une enquête dans la ville voisine (on soupçonne les forains ), je commençais enfin une petit vie tranquille. J’étais certes seul dans cette grande maison avec Blasius mais cela suffisait à mon bonheur, je n’imaginais pas ma vie hors de ces murs, oh je faisais bien des petits voyages avec mon père mais j’ai toujours était mal à l’aise avec la foule et encore plus lorsque je crois de grands famille de sorties ! Mais au bout d’un an à partir de l’anniversaire de ce jour où j’ai tué mes camarades je me suis mis à déliré et a avoir une belle dépression, mon père en déduisit que j’étais en manque de quelque chose … j’étais devenu addict au meurtre, pourquoi une telle déduction ? Peut être à cause du fait que je m’en prenait aux bestioles de la fôret qui tombaient dans mes pièges ou mon acharnement sur les cadavres d’enfants de la morgue… N’aimant pas me voir comme ça (et voulant aussi garder ses cobayes « en forme ») il m’offrit pourle noël de mes quatorze ans une serviette de chirurgien avec tout le matos possible dedans mais aussi un set de douze couteaux de cuisine dans la doublure … drôle de cadeau pour un pré-ado. Mes couteaux sont assez glauque quand j’y pense, sur chacune des lames se trouve l’inscription d’un des noms de mes camarades que j’ai jadis tué et pour couronner le tout le manche blanc était fait avec les restes de leurs ossements… mais bon sang Blasius était vraiment taré à l’époque. Je me souviens de ce qu’il m’avait dit par la suite « Je ne sais pas si tu es capable de guérir après ce que tu as vécu mais ça c’est le seul moyen que j’ai trouvé pour que tu te sentes mieux ! Fais juste ça discrètement et réfléchis bien car ce ne sera pas moi qui irait te sortir de taule » Au moins c’était clair et net, un parent normal n’aurait jamais encouragé son gosse de tuer mais il estimait qu’il était mal placé pour me dire ce que je ne devais pas faire. Pourtant même avec ça j’ai eu du mal à m’y mettre, il a fallut attendre quelques mois , le jour où j’ai rencontré mon frère. Je me souviens que ce jour ci Blasius m’avait demandé d’aller de la terre pour sa serre, je suis donc allé un peu plus loins dans la forêt où se trouve un sol très fertile. Mais une fois arrivé là bas avec mon sac et ma pelle je fus surpris par une drôle de silhouette qui se reposait contre un arbre près de la rivière. C’était un jeune homme, qui avait l’air plus âgé que moi de deux-trois années, il avait l’air mal en point mais semblait dormir… mais ce qui me choqua ce n’était pas son état mais son physique, oui je suis assez mal placé pour juger les gens de par leurs physique mais il faut dire qu’on ne peut pas ne pas être surpris par un individu qui possède des cornes de bélier sur le crâne, des bras démesurément longues et effrayantes de par leurs aspect bestial et de plus il avait l’air vachement plus grand que moi alors que je m’approchai des deux metres! Mais contrairement aux personnes normales je ne me suis pas enfuit ou retiré… il avait l’air d’être à bout de force et c’est en rassemblant mon courage (car j’étais assez timide pour pouvoir engager une conversation) que je lui dit en le réveillant « Hey tu vas bien ? Faut pas dormir ici ! Viens avec moi ». Quand il ouvrit les paupières il avait l’air surpris mais ne dit pas un mot , je continuais malgré moi à lui poser des question comme « d’où viens-tu » ou « comment t’appelles-tu » mais il mit du temps à me répondre, il était d’abord en train de m’analyser, il me regardait dans les yeux et j’avais l’impression qu’il pouvait lire en moi comme un livre ouvert… c’était assez stressant. Il m’avoua enfin qu’il n’avait pas de nom mis à part un nom de scène « la bête » et qu’il n’avait pas de chez lui. A cet instant la pluie tomba, et il commença à s’envelopper dans une couverture mais il n’a pas eu le temps de s’installer vers un arbre plus grand que je lui ai pris le bras en lui disant qu’il devait venir à la maison. J’ai dû insister un peu car il était très méfiant à l’époque mais il craqua et me suivit, Blasius était au départ en colère que j’ai pu mettre autant de temps pour aller chercher de la terre (surtout que au final j’avais oublié d’en ramener) et quand il vit le jeune homme qui m’accompagnait il l’a tout de suite cloué au lit pour l’examiner. Malheureusement pour l’invité , mon père ne pouvait rien faire, ses cornes devaient être greffé dans des conditions déplorables qui l’empêche de les retirer sans mettre sa vie en danger, quand à ses bras c’est la même chose, il peut les retirer mais il est incertain qu’il puisse lui en greffer une nouvelle paire… Le garçon resta dans la chambre quelques jours sans dire un mot mais au fur et à mesure que nous nous occupions de lui il craqua et nous raconta son histoire. Il était né dans un Cirque avec une réputation assez douteuse (qui faisait des représentations aux personnes importantes tels que les princes, dictateurs ou personnes politiques), sa mère est morte très jeune à cause d’un accident lors d’un de ses numéros de funambulisme (le cirque n’avait aucune sécurité pour rendre le spectacle encore plus attractif, donc sa mère n’avait pas de filet en dessous) et son père était le gérant mais ne l’a jamais considéré comme son fils. Quand il eut neuf ans on ne lui avait toujours pas trouvé de talent, et était donc une bouche de plus à nourrir qui ne rapportait rien au final, alors son père eut l’idée de le transformé afin qu’il ramène la foule. Il a donc payé des chirurgiens au noir et leurs demanda de le transformé en une sorte de monstre qui pourrait ouvrir la galerie des horreurs du Cirque. Et c’est comme cela qu’il s’est retrouvé sur le billard et exclusivement nourrit de drogues le faisant grandir. Je ne vais pas m’attarder sur les détails car ce n’est pas mon histoire mais ce garçon a vécu les sept autres années dans l’humiliation et dans la maltraitance et lorsque l’occasion s’était présenté il égorgea à l’aide de ses longs doigts les membres du Cirque alors qu’ils dormaient puis il foutut le feu au Chapiteau. Après cette libération il courut au premier village qu’il pu trouver pour y avoir un refuge mais malheureusement il fut rejeter et traiter comme un monstre. Et au fur et à mesure qu’il fut chasser des villes où il allait, il était tellement désespéré et blessé qu’il décida de se réfugier dans la forêt. J’étais bouleversé et ému par son histoire, il avait connu autant voir plus de malheurs que moi ! Blasius aussi il me semble car il prit immédiatement la décision de le garder sur le long terme, et pour marqué cet évènement il l’appela « Lukas » en hommage à un compositeur américain qu’il aime bien. C’est alors que je me suis retrouvé avec un grand frère, oui c’est assez étrange de vite considéré aussi vite une personne qui avait à l’époque dix-sept ans mais je pense que notre solitude et notre histoire nous a beaucoup rapproché et nous sommes devenus inséparables ! La famille Hackermann compte désormais trois membres. Mais Blasius avec sa chance surhumaine compris vite que sont deuxième rejeton avait aussi des problèmes, il avait les mêmes crises que moi … il nous avoua que allions être une nouvelle version de Bonnie and Clyde mais version frères.
- Chapitre 5:
Bon je vais abréger les cinq années qui suivirent, Lukas et moi étions les élèves de Blasius qui nous fit faire des études très extrêmes. Nous avons tout deux réussit à avoir le niveau d’un individu ayant eu son doctorat en médecine sauf que comparé à eux nous étions jeune , j’avais 19 ans et Lulu 23 ans. Nous savions que nous n’allons pas rester éternellement dans le domaine, nos crises devenaient de plus en plus fréquente et un jour Blasius eut une grande idée. Il semblerait qu’une organisation chercherait des agents afin de gérer la population d’une île dont le taux de criminalité était très haut. Il nous avoua aussi qu’on lui avait proposé le poste de Chef de corps médical et qu’il avait carte blanche sur toutes les expériences faites là bas mais étant donné qu’il voulait commencer un retraite bien mérité (car il faut dire qu’être notre père ça demande du boulot) il me recommanda pour ce boulot avec Lukas comme assistant. Il me dit que cet organisme ressemblait plus à une mafia qu’à un centre de sécurité et m’a donc assuré que Lukas et moi pouvions nous défouler dans les expériences et sur la population. C’était donc décidé ! Lukas et moi étions partis pour cette petite île dans le milieu du Pacifique. Arrivé là bas les agents étaient étonnés de mon jeune âge, mais ils ont vite compris que j’avais un niveau très élevé et plus que suffisant pour le poste. Au fur et à mesure des années je m’étais fait une réputation assez glauque mais au moins on me fichait la paix. On me rapportait des criminels que Lulu prenait un malin plaisir à torturer pour extraire des informations capitales pendant que moi je m’occuper des cas de enfants pour que leurs parents puissent avouer les plans de leurs groupes criminel … Mais au final, aveux ou non nous les tuons. Mais bon il faut pas croire que je sois un monstre non plus car j’ai réussit à me faire des amis parmi les agents et parfois paris des innocents malchanceux où je pouvais voir des similitudes dans mon malheur. Enfin bref c’est comme cela que je suis devenu le docteur Frankenlaw vivant dans la fête foraine de l’île d’Amissia.
. . ►. GALERIE DU PERSONNAGE
Dernière édition par Dr.Lawrence Hackermann le Lun 4 Mar - 18:56, édité 6 fois |
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